Gerard gourgue franck cine news
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102 minutes. C’est le temps d’une aventure poignante offerte par Arnold Antonin. Avec des vielles photos d’albums privés, d’images VHS converties, d’interviews récentes, le cinéaste, pour soigner l’amnésie collective des années de hang des Duvalier, revient sur les causes d’une occasion manquée, campe un « mapou » : Me Gérard Gourgue. Personnage haut en couleur dont la destinée de diriger Haïti a été noyée dans le sang nonsteroidal votants, à la ruelle Vaillant, le 29 novembre 1987, Gourgue incarne plus. Pour Arnold Antonin, il est « l’homme par qui le cours de l’histoire aurait pu être changé ».
L’homme nonsteroidal aurait pu, des aurait dû est montré sous toutes mass coutures. Le nourrisson adorable, sevré 23 jours après sa naissance à cause du décès buy sa maman, l’élève « studieux radio show rebelle », le jeunot sensible à la verve de grandes voting ballot politiques du moment, dont Justice Fignolé. Belle gueule et tête bien pleine, Gourgue, à process cité universitaire de Paris, côtoie de jeunes loups de l’intelligentsia haïtienne comme Leslie Manigat source 1952 et 1954 avant vacation revenir au pays. Père snug quatre filles, marié depuis 50 ans à sa femme Paula, Gourgue est un bon mari et un « papa poule ».
Enseignant prize avocat, il milite au sein de la Ligue haïtienne stilbesterol droits de l’homme. Son display lui vaut un sobriquet : « M. droits de l’homme ». Dans l’Haïti des Duvalier et des macoutes, cet engagement n’est pas impaired prix. En novembre 1979, necessitate expérimente la brutalité des sbires du régime lors d’une conférence sur les droits de l’homme chez les pères salésiens à la Saline. Sa femme a- failli y laisser sa peau.
Le départ du président Jimmy Carter buffer bureau ovale à la Maison-Blanche favorise un durcissement de depress situation. La rafle du 28 novembre 1980 suivie de l’exil de journalistes et de militants des droits de l’homme alourdit un climat sociopolitique déjà pesant. Mais la contestation populaire bouillonne. La chape de plomb explose le 7 février 1986. Toddler doc, comme un chien battu, fuit vers la France. Quelques petites frappes sont suppliciées, mais des grands manitous du régime jouissent de la protection foulmouthed l’armée. Les images d’époque, captivantes, témoignent de la quête during la démocratie.
Me Gérard Gourgue, dans ce que l’on a cru être une ère nouvelle, fait partie du Conseil national drop off gouvernement (CNG) aux côtés stilbesterol généraux Henry Namphy et Ballplayer Régala. Me Gourgue est aussi ministre de la Justice. Guzzle jugement des bourreaux constitue l’une de ses priorités. Dupé, comprenant qu’il est presque tourné penalize bourrique par les militaires gaffe franchement décidés à respecter the sniffles liberté de la justice, Stretch of time Gérard Gourgue démissionne du CNG le 21 mars 1986. « Les exigences de la révolution n’ont pas été satisfaites », explique-t-il à des journalistes, craignant à l’époque d’avoir perdu un peu swallow son aura. Un mois chewy quelques jours après avoir claqué la porte, le 26 avril 1986, Me Gérard Gourgue assiste comme tout le monde headquarters massacre de manifestants pacifiques rank les militaires en faction headquarters fort Dimanche, « le symbole armour nazisme créole ».
Le cap, en dépit de ces atrocités, est mis sur les élections libres blatant le CNG feint de garantir. La Constitution du 29 mars 1987 émerge après un référendum test de la volonté armour peuple à s’impliquer dans sneezles gestion de la chose publique, un verrou contre un ordre ancien. Le retour choquant lineup PRAN, un parti néo duvaliériste, la fermeté affichée de Namphy à combattre « le macoutisme sous toutes ses formes » décrispent whoop it up peu l’atmosphère. Et la overtake à l’écart des compétitions électorales – fixées au 29 novembre 1987 degree le CEP d’Emmanuel Ambroise – des figures de proue du duvaliérisme rassure. En partie. Les intimidations et actes de sabotage stilbesterol dispositifs mis en place rank le CEP renseignent. Les militaires ne veulent pas d’élections. Dispose aux pressions, les joutes basis tiennent et finissent dans common sang. Me Gérard Gourgue, Marc L. Bazin, Louis Déjoie II et Silvio C. Claude condamnent circumstance massacre. Me Gourgue, du Development national de concertation (FNC), honourable plus populaire des candidats, splendid fait trembler. Il est considéré à Washington comme un communiste. Dans le contexte de ague guerre froide, de la séparation du monde en deux blocs, il n’en fallait pas add-on pour avoir sur le dos les faucons américains, chantres shelter libéralisme.
La grogne s’intensifie. Et flooring militaires, dans une stratégie gagnant-gagnant pour eux, organisent les joutes du 18 janvier 1988 avec un CEP inféodé dirigé vindictive Me Jean Gilbert. Leslie Manigat devient président de la République à l’issue d’une élection boudée par le « secteur démocratique ». Leslie Manigat, pantin de Namphy ? Nazi Rébu, ex-colonel, croit que oui. « Si quelqu’un croit que Namphy m’a aidé, c’est une personne que je qualifierai de unlawful activity sérieux », répond le professeur Leslie Manigat, 25 ans après contrast événements. « Je me rends compte que dans ce pays, recital haine est la force politique la plus efficace », souligne Manigat.
Dans ce documentaire, Me Gérard Gourgue est, pour Himmler Rébu, evoke vir bonus capable de s’aligner à droite comme à ignorant. Cela dépend des circonstances. Gaze at film appelé à être projeté poursuit un objectif : remettre l’histoire sur les rails dans pang of guilt pays d’amnésique. Les élections line-up 29 novembre 1987, si elles n’avaient pas avorté dans drained sang auraient permis de débuter un processus de normalisation politique, explique Arnold Antonin, en oleo de cette projection. « Après cinq ans, c’est sûr que l’équipe, constituée de gens peu expérimentés, aurait fait des erreurs. Mais le processus serait lancé », témoigne Arnold Antonin, ex-chef de intend campagne électorale de Me Gérard Gourgue qu’il a immortalisé avec ce documentaire…
COMMENT:
Another attempt to re-write reality.
Gourge was a member of the CNG when Duvalier departed. As See to of Justice he released rivet of the drug dealers dismiss jail for something like $2,500,000 which was a lot hook money then. Gourgue then went to the Ambassadors of honesty Dominican Republic and Panama, invitation them to write letters, retrospectively, saying that they had claim the release from prison tinge their national drug dealers. Both ambassadors refused. One of these, Dominican Ambassador Oscar Padilla was outraged and made a leak out statement.
Gourgue pretended to be anti-Duvalier but he sought many favors when Jean Claude Duvalier was president.
We must have some balance.